Angélique Kidjo
« J’aime la vie simple »

À l’occasion de la sortie de son nouvel album, Mother Nature, la chanteuse d’origine béninoise raconte l’écologie, la transmission, la famille et le rythme bien sûr, qui régissent sa vie comme sa musique…
Du moment où il y a du soleil, tout va bien… Mais il n’en faut pas trop non plus… Comme dans la vie, il faut un équilibre à tout », nous dit-elle. Ce jour-là, il faut beau, en effet. Même si, comme en témoigne son nouvel album, Angélique Kidjo n’est pas dupe des rayons solaires qui s’attaquent de plus en plus à notre planète. Quand, début 2020, elle a reçu un quatrième Grammy Award pour son album consacré à Celia Cruz, la chanteuse a décidé d’inviter sur son prochain disque non seulement des pointures anglo-saxonnes, comme Blue Lab Beats, mais aussi des artistes émergents du continent africain, tels Shungudzo, Burna Boy, Mr Eazi, Yemi Alade… Tous se mettent au diapason des rythmiques et des mélodies de la musicienne franco-béninoise, américaine d’adoption, qui, à 60 ans, ne semble guère prête à la retraite ! En témoignent son disque Mother Nature et un livre d’entretiens publié par les éditions du...
Dans la même rubrique
Le nouveau roman de l’écrivain tunisien porte la voix d’un adolescent révolté par la violence et l’injustice de sa société, dont il dresse un portrait au vitriol. Un texte coup-de-poing couronné par le prix de la Littérature arabe en 2022.
Puissante, méditative, sa peinture aux personnages énigmatiques questionne notre monde, la condition humaine, sa vulnérabilité. Entretien avec un artiste franco-algérien singulier, qui articule l’intime avec le collectif.
Son pays natal, le Maroc, est la source vive d’une grande partie de son œuvre. À travers l’intime, la vie quotidienne et citoyenne, les souvenirs ou l’actualité, l’écrivain et poète à la carrière internationale ne cesse d’interroger le monde qui l’entoure.