La Banque africaine de développement élira son nouveau président à Abidjan le 29 mai prochain, dans un contexte de bouleversements macroéconomiques mondiaux. Et avec l’exigence de mieux répondre aux défis du continent. L’ancien ministre mauritanien Sidi Ould Tah se présente à la fois comme le candidat de la raison et du changement.
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En Côte d’Ivoire et au Ghana, l’application polyvalente SUTTI propose aux petits paysans des services sur mobile, financés par les coopératives agricoles locales et les distributeurs européens.
Au moins 9% de ces minerais particulièrement prisés par la tech viendront du continent en 2029, contre 1% en 2020. Avec un potentiel encore immense et une demande en hausse croissante, les projets se multiplient. Suscitant la convoitise des États-Unis, soucieux de bloquer la domination chinoise.
Le conflit au Kivu, l’or du Mali, les ressources en terres rares… Le président du think tank Minerals Africa Development Institution (MADI), basé à Kampala, souligne que le continent doit avant tout défendre ses propres intérêts. En s’appuyant en particulier sur des alliances entre États voisins.
Certains pays comme la Côte d’Ivoire et le Nigeria promettent d’assurer la continuité des programmes. Mais la fin brutale de l’aide américaine exige des solutions à long terme pour éviter de nouvelles dépendances.
La Banque mondiale mise sur des petits panneaux de plus en plus performants pour équiper en électricité 300 millions d’Africains en cinq ans.
Paris en février, Kigali en avril: les sommets se succèdent autour des enjeux, mais aussi des risques, de l’intelligence artificielle. Entrepreneurs et responsables africains évaluent les atouts et les faiblesses du continent devant ce bouleversement.
Qhala se donne pour mission d’accompagner la transition numérique des entreprises sur le continent. Tandis que le digital, et notamment l’intelligence artificielle, gagne du terrain et occupe tous les esprits à l’échelle mondiale, l’entreprise fait de l’innovation sa priorité. Rencontre avec sa fondatrice et présidente.
Sidération à travers tout le continent, où l’arrêt de l’aide américaine a déjà des impacts: travailleurs humanitaires licenciés, malades abandonnés.