Le continent africain, vu d’ailleurs… Qui n’a pas entendu des inepties comme « C’est un très grand pays, mais qui ne s’en sort pas, c’est triste » ou encore « Les Africains sont bons en musique et en sport, mais c’est tout» ?
Editos
Nous sommes dans le monde et le retour de Donald Trump au pouvoir est aussi une affaire africaine. Si le continent n’a jamais été réellement une priorité américaine (y compris à l’époque de Barack Obama), il le sera encore moins.
100 jours d’administration Trump aux États-Unis. Et de nombreuses secousses brutales dans le monde. Dont une, d’une violence extrême : la suspension des financements de l’Usaid, l’Agence américaine de développement.
Cela fait approximativement soixante ans, plus ou moins, que l’Afrique est indépendante (et pour certains, comme la Namibie, un peu plus de trente ans).
L’intelligence artificielle et ses promesses révolutionnaires pour le monde, et surtout pour l’Afrique, s’invitent partout.
C’est un sujet essentiel. La réalité de la vie des femmes, nos compagnes, nos filles, nos mères, celles avec qui l’on travaille tous les jours.
Tous les ans, à l’approche du 8 mars, tombent des statistiques sur les femmes, leur condition et son évolution, compilées par les organismes internationaux.
Si j’étais un Américain « vieille école », attaché à la tradition libérale de mon pays, fidèle à l’édifice démocratique construit depuis plus de deux siècles, un Américain de la statue de la Liberté,
On le sait: le changement climatique frappe de plein fouet le continent africain. On y enregistre depuis quelques années des températures extrêmes et un mercure qui s’envole au gré des années.