Le Best of Music






Mêlant Afrobeats, hip-hop, reggae et R’n’B, il fait des ravages sur la scène mondiale depuis son album inaugural L.I.F.E. en 2013. Né à Port-Harcourt le 2 juillet 1991, il grandit entre un père manager et une mère choriste.
Née à Ouidah le 14 juillet 1960, Angélique Kidjo est plus qu’une légende: c’est l’âme incandescente de la world music. Polyglotte, enracinée dans les rythmes béninois et ouverte aux musiques du monde, elle fait dialoguer jazz, funk, gospel et afropop avec une liberté jubilatoire. Depuis les années 1990, Carnegie Hall, Montreux ou Glastonbury vibrent à sa voix d’ambassadrice de la musique africaine.
Divine Edukor est né le 1er mai 2000 à Benin City. Vingt-cinq ans et déjà 30 millions d’auditeurs chaque mois sur Spotify, plus de 1,7 milliard de streams cumulés depuis la sortie de son premier EP autoproduit en 2019 et de son tube viral «Dumebi».
Née en 2002 à Johannesburg, Tyla Laura Seethal s’impose depuis 2023 comme la nouvelle voix du «popiano», savant mélange d’amapiano, R’n’B et afrobeats.
Du haut de sa petite trentaine, c’est la pop star française la plus écoutée au monde. En février dernier, son single «Djadja» dépassait le milliard de vues sur YouTube.
Né Ayodeji Ibrahim Balogun en 1990 à Lagos, Wizkid débute à 11 ans et explose en 2011 avec Superstar («Holla at Your Boy»).
David Adedeji Adeleke, né en 1992 à Atlanta et élevé à Lagos, s’impose dès 2011 avec «Dami Duro» comme une figure de l’afropop mondiale.
Née en 1968 À Bamako, Oumou Sangaré puise dans les chants traditionnels du sud du Mali pour porter un message engagé contre la polygamie et les mariages forcés. Dès Moussolou (1990), succès panafricain, elle s’impose sur la scène mondiale.
La disparition récente d’Amadou ne fait qu’ajouter à la dimension anthologique de ce binôme, qui nous aura fait danser comme pleurer.