Un autre regard
sur Djibouti
Prenez le temps d’un voyage sur le détroit de Bab el-Mandeb, à la découverte d’un pays multiple, une terre de nature, de traditions et de nomades, tout à la fois aux origines du monde et lancé vers le futur.
Les îles Moucha et Maskali
Ces petites îles désertiques, surmontées de mangroves de palétuviers, sont situées à l’ouverture du golfe de Tadjourah. Leurs eaux transparentes recouvrent des parterres d’algues multicolores. Un vrai paradis terrestre.
Des trésors sous-marins
Les fonds sous-marins de Djibouti sont recouverts de coraux aux couleurs vives, dont le nephthya (photo). Près de 200 espèces de poissons ont été identifiées dans ce spot privilégié de la mer Rouge, qui attire les scientifiques du monde entier et les amoureux de la plongée.
Le lac Abbé
Coucher de soleil sur ses cheminées calcaires en forme d’aiguilles, qui atteignent 50 mètres de hauteur par endroits. Il offre certainement l’un des paysages les plus uniques au monde, avec ses sources bouillonnantes et leur senteur de soufre. Des envols de flamants roses, d’ibis et de pélicans sont souvent au rendez-vous.
Les requins-baleines
Avec leur ventre blanc et leur dos gris moucheté, ils peuvent mesurer jusqu’à 15 mètres de long. En hiver, on peut les observer en bateau. Ces géants de la mer sont doux et inoffensifs. Et constituent l’une des premières attractions touristiques du pays.
Le lac Assal
Nous sommes dans le désert de Danakil, au centre de Djibouti. Cette incroyable vaste plaine d’eau et de sel se situe à une altitude de 153 mètres sous le niveau de la mer. C’est le point le plus bas d’Afrique. Une rareté géologique.
Le Djibouti Palace Kempinski
Posé sur l’îlot du Héron, l’imposant établissement de luxe égraine ses piscines à débordement, son imposant spa, ses restaurants, jardins et bars en bordure de la mer Rouge. Une oasis de paix pour une clientèle cossue, à moins de 3 kilomètres du centre-ville de la capitale. Et avec les grues de l’ancien port à l’horizon...
Djibouti new-look
La capitale change presque à vue d’œil. L’ancienne petite ville coloniale, avec au cœur la place Menelik et ses cafés, où l’on joue encore parfois à la belote, se tourne vers le futur. Djibouti s’impose comme une plate-forme logistique et portuaire, mais aussi comme un centre financier, un hub digital, une vigie sur la mer Rouge et l’une des portes de l’Afrique. Petit à petit, le tourisme y trouve sa place. Le voyageur pourra venir ici, à la découverte d’une cité cosmopolite, un carrefour entre Asie, Afrique et Arabie.