L’âge médian des Africains est de 19 ans. Et 62 % de la population du continent a moins de 25 ans. Les exigences que pose cette démographie sur les systèmes politiques et économiques sont immenses. La crise du Covid-19 accentue durement les inégalités générationnelles et la précarité de cette grande majorité de la population. Un nouveau contrat social entre cette jeunesse et leurs aînés devient l’urgence.
C’est une priorité pour le président Alassane Ouattara et son équipe. Ils et elles représentent une bonne partie de la population du pays (environ 80 % des Ivoiriens ont moins de 35 ans). Ils et elles sont une force et une promesse pour l’avenir. Ils et elles incarnent aussi de fortes exigences pour la nation : éducation, formation, emploi, opportunités… Le travail est immense. Ils et elles représentent un enjeu politique dans les perspectives des futurs scrutins. Et puis, surtout, ce qui compte vraiment, ils et elles innovent, créent, bousculent les schémas, apportent des solutions.
Si le calendrier politique et électoral occupe la classe politique, l’agenda économique reste une priorité pour le gouvernement. La Côte d’Ivoire, avec des taux de croissance élevés, s’impose comme une valeur sûre aux yeux des investisseurs internationaux. Le contexte est favorable à l’accélération des projets phares du second mandat présidentiel d’Alassane Ouattara. Autant de chantiers destinés à poser les éléments essentiels d’une nation moderne à l’horizon 2020.
À quatre mois d’un scrutin présidentiel essentiel, premier bilan d’un mandat de progrès malgré une conjoncture exigeante.
Malgré la faiblesse de ses ressources, le pays a su parier sur son positionnement stratégique pour se dessiner un vrai avenir.
Le pays sort peu à peu d’un demi-siècle d’immobilisme. L’économie enfin dynamique est dopée par l’investissement. L’espoir renaît, même si le processus démocratique reste toujours aussi fragile et porteur de drames.
Installation du Sénat, élections locales, mise en place d’institutions sur la transparence, le pays cherche à promouvoir un véritable pluralisme.
Depuis octobre dernier, la Tunisie peut compter sur deux pavillons dans le célèbre campus international universitaire de Paris avec le pavillon Habib Bourguiba.
C’est le roman d'une vie. Celle d’une femme lumineuse, confrontée aux regards d’une France coloniale. Une vie que l’art et les amitiés sélectives subliment enfin.
En 2018, Mo Jodi, premier album du groupe, plaçait le créole au centre de la scène Blues internationale. Aujourd’hui, le trio est de retour avec le fiévreux 4 ED MATEN, qui rend hommage aux travailleurs. Interview de son leader.
Quand la porcelaine de Limoges rencontre le célèbre tissu africain. Une entreprise lancée en 2019 par Absa Char Say.
LES PHOTOS DE CE PORTRAITISTE BURKINABÉ montrent une esthétique contemporaine de l’Afrique. Son œuvre L’Homme et la Matière a été sélectionnée pour illustrer l’affiche du prix Pictet en 2021.
L’Homme qui a vendu sa peau est nommé aux Oscars. Une première pour un long-métrage tunisien, et un nouveau signe de la reconnaissance internationale d’une nouvelle génération.
Le début d’année a été marqué par des annonces sur le déploiement massif de cette technologie en 2021. Des déclarations prématurées, la majorité des pays installant la 4G. Et même si elle est prometteuse, elle s’adressera en priorité aux entreprises.
Le pays subit le contrecoup de la pandémie, qui le plonge dans une forte récession et amplifie les faiblesses d’une économie rentière.
Pétrole, blé, cuivre, maïs... Le prix de nombreux produits de base flambant depuis l’automne 2020, des banques anticipent un nouveau supercycle.
La guerre planétaire entre Spotify et Apple Music ouvre un front sur le très prometteur marché africain. Mais les acteurs locaux n’ont pas dit leur dernier mot.
Les moins de 25 ans représentent 60% des chômeurs africains. Et avec la poussée démographique, la population active triplera demain. Il faudra alors créer 1,7 million de postes par mois. Les pays en sont loin. Cette pénurie est une véritable bombe à retardement.
Plutôt discrète jusque-là, la Banque africaine d’import-export s’impose aujourd’hui comme un acteur clé dans le paysage bancaire sur le continent.