Dans son nouveau long-métrage, L’Homme qui a vendu sa peau, la cinéaste tunisienne retrace sans concessions les épreuves d’un réfugié syrien devenu œuvre d’art vivante en se faisant tatouer le dos et qui gagne sa liberté au prix d’un pacte faustien. Rencontre avec celle qui a été acclamée par la critique à Cannes avec La Belle et la Meute en 2017.