Leurs followers se comptent par dizaines de milliers. Mode, gastronomie, photos, comédie, empowerment... De Facebook à Instagram, en passant par TikTok, ils et elles s’imposent comme des maîtres de la tendance. Et s’adressent particulièrement aux plus jeunes avec un impact considérable sur les modes de vie. Rencontre avec ces nouveaux leaders d’opinion (qui font aussi des affaires).
Dans son essai Les Bons Ressentiments : Essai sur le malaise post-colonial, le sociologue et auteur sénégalais analyse le discours qui disqualifi e les écrivains et intellectuels africains accusés d’allégeance à la France. Une urgence : sortir de ce malaise post-colonial, qui paralyse la vitalité des débats. Et bâtir enfi n une histoire nouvelle.
Le grand cinéaste allemand Volker Schlöndorff rend hommage à un pionnier australien dans le reboisement du sahel .
Née à Chicago en 1984, cette « poésie rythmée de mots et d’émotions » a conquis le monde. Et s’installe maintenant à Abidjan, ville des fusions culturelles. Pionniers et jeunes passionnés réinventent le genre avec enthousiasme.
L’historien sénégalais est le commissaire de l’exposition « Senghor et les arts : Réinventer l’universel » au musée du quai Branly. Elle rend hommage au « poète-président », qui a joué un rôle central dans la promotion des arts du continent.
Armand Patrick Gbaka-Brédé (son nom d’état civil) est écrivain, journaliste aussi à ses heures, photographe, scénariste. Ses romans sont marqués par un sens de l’humour et de la satire bien particulier. Émigration, colonisation, métissage sont au centre de son œuvre. Son dernier ouvrage, Cocoaïans (Naissance d'une nation chocolat), est sorti en août dernier.
À 43 ans, l’architecte nigérienne insuffle du sens à la conception d’espaces. Du bon sens. Son art et son travail vont bien plus loin que l’élaboration d’une structure ou d’une esthétique. Ils constituent un acte politique et humaniste.